Pour David, Pierre, Prince, Nikolaus et tous les autres… ce n’est qu’un au revoir !
En attendant un retour espéré à la fête en 2017, CCC se souvient que 2016 a été une année particulièrement chargée pour la Faucheuse qui s’est intéressée à la musique. Un bilan de son année fertile…
En attendant 2017, rappelons-nous que 2016 n’aura décidément pas été une année de fête avec notamment les disparitions de David Bowie, Prince et Georges Michael. Profitons du dernier jour de l’année morose pour pleurer d’autres grands noms de la musique.
Boulez, Harnoncourt, Marriner...
Moins médiatisé, le classique a tout autant souffert de la mort des grandes figures. Pierre Boulez n’est pas connu pour avoir revêtu des costumes à paillettes comme Bowie et pourtant, sa musique ne manque pas d’Eclat/Multiples, d’explosante/fixe ou de dérives. En matière d’excès, comme pour le Rock'n Roll, la redécouverte de l’interprétation baroque a tout cassé.
La star absolue, le Prince du baroque est bien évidemment Nikolaus Harnoncourt et sa Revolution. En sortant les instruments d’époque des musées, il a transformé l’approche de la musique de Bach, Haendel ou Mozart de façon irréversible. Le nom de Sir Neville Marriner est indissociable de celui d’Amadeus. Il a connu comme le joli Georges des records de ventes d’album avec notamment , 6,5 millions pour la bande-son du film de Milos Forman. Special big up a Sir Neville et ses 600 enregistrements ! Grâce à ces enregistrements, les artistes laissent de nombreuses traces qui nous permettent juste de les saluer en leur chantant, « ce n’est qu’un au revoir… » Et vive la musique !