Inutile de se mentir, l’opéra contemporain n’a pas bonne presse. Il n’est pas facile de promouvoir la création qui peut pourtant être passionnante. Les premières représentations d’un nouvel opéra au Teatro Real de Madrid, La ciudad de los mentiras d’Elena Mendoza et Matthias Rebstock risquent de ne pas aider les ardents défenseurs de l’art lyrique actuel. Et pourquoi ?